Dominique Pétrin s’écarte

 Autrefois la Poney des feus Georges Léningrad, Dominique Pétrin s’ancre depuis les quatre-cinq dernière années dans le domaine des arts visuels: sérigraphies, installations, alouette.  »Je ne me suis jamais sentie musicienne », qu’elle explique à la porte de l’Écart un peu plus tôt aujourd’hui, où elle présente son expo depuis mercredi. Ce soir, c’est sa performance sonore qui dominera,  »pas vraiment de la musique, plus ce que j’appelle une présence. Toutes les performances musicales impliquent une certaine transe expressive, mais là je suis en pleine période exploratoire. »

Avec son acolyte Rebboh, Miss Pétrin a offert une perfo sous hypnose pendant le festival Mutek en juin passé à Montréal, et débute des ateliers de mime auprès de Jean Asselin d’Omnibus, avec qui elle a  »vraiment cliqué », cet automne. La perfo débute à 17h30 tapantes.

117, jeudi, jour 1.

Départ en force que ce premier soir de la 8e édition du FME!!!

Une 117 paisible, où nous roulons plus vite que les épinettes…
Une 117 où nous sommes tous un peu « à côté »…
Un 5 à 7 de Chantal Archambault que j’ai manqué, mais où les échos sont si beaux que j’ai déjà hâte de me reprendre à Montréal.
Le mur du son que fut Bateau Noir.
La générosité d’Ariel.
Le plaisir évident de la Descente du coude. (Le plaisir moins évident, de repartir à Montréal,  à la première heure ce matin)
Mon éternelle adolescence avec Les Vulgaires Machins.
La folie de Gablé.
La délicatesse des Besnard Lakes.
La force tranquille des Revenants.
La puissance de High Tone.

Voici quelques photos de cette première journée.