Le trait d’union
C’est ma 4e fois au FME. Je crois. Effectivement, pour une raison qui m’échappe, je ne me rappelle pas exactement de tout de mes passages à Rouyn. Sérieux, je suis sûr que c’est ma 4e visite au FME, mais j’ai un léger doute quand même. Il faut dire que je suis aussi venu souvent dans mon enfance dans la grande ville de Rouyn (j’habitais à la Baie James, alors hein, les adjectifs n’ont pas la même portée). Donc j’ai un petit flou concernant mes visites dans la capitale internationale du cuivre.
Peu importe au fond si ça fait 3 ou 4 FME que je vis, je sens un changement dans l’évolution de la bête. Ce qui est bon signe en général. Je crois qu’une partie de ce changement réside dans la nouvelle scission entre Rouyn et Noranda que le festival a réanimé… mais pour le mieux!
Comment un festival divise une ville en 2? C’est simple: les 5 à 7 à Rouyn, et le gros des spectacles de soirée à Noranda. Ce qui évite les va-et-vients d’un bord à l’autre de la ville à chaque demie heure (on ne maque plus de gros segemnts de spectacles dû à des déplacement). Mettons que je voudrais être poétique, mettons, je pourrais dire que le FME, c’est en fait le trait d’union de Rouyn-Noranda. Mais tsé, j’irais pas jusqu’à faire de la poésie, et surtout pas en faire le titre d’une chronique.
Un peu d’histoire (mais à peine)
Commençons par le commencement. Le nom de la ville.