À 15 minutes du Vieux-Noranda, plongée dans la wildlife abitibienne, la base de plein air du Lac Flavrian accueille les musicien-nes pour la durée du festival. Dès les concerts terminés au centre-ville, la fête se poursuit au camp jusqu’aux lueurs de l’aube, illuminée par des feux sur la grève et des conversations de dortoirs.
On l’appelle affectueusement : le « camp où on ne dort jamais ».
Heure de réveil moyenne : 11h
12h : Heure de pointe à la cafétéria. Les artistes font la file pour un brunch « défibrilisant », cholestérol-friendly.
Brunch jour 1
Omelette bruschettas, avec quiche, jambon, bacon, brie, cretons et yogourt
Brunch jour 2
Crêpes au sirop d’érable, avec pommes de terre rissolées, oeuf, extra-bacon, saucisse et jambon, avec un bagel
Ridiculement cochon, mais aussi nécessaire qu’une pluie à des racines après une longue canicule.
Les artistes rechargent leurs batteries au petit matin.
Emilie pour la couverture alimentaire du FME.