Du Cheval blanc au Trèfle noir

Quand t’es un expat (ou un ex-nouvel-habitant), la première chose à faire sur ta terre promise, c’est chercher un repère.
Dans mon ancienne vie, je fréquentais les microbrasseries et les tavernes de Montréal.
Pourquoi ?
Était-ce les coins sombres ?
L’odeur du houblon ?
La clientèle majoritairement masculine ?
Le plaisir de m’entendre penser et parler ?
Bref, outre la qualité des produits à boire, je me l’explique ben mal.

Tout ça étant, lors de mon arrivée à Rouyn-Noranda, j’avais un besoin à combler ; boire.
Boire oui, mais autre chose que de la Coors. Entendons-nous, je n’ai rien contre ce breuvage, mais ce n’est juste pas ma tasse de thé. (toudoum tissssh)
L’instinct de survie dans le tapis, j’ai trouvé un endroit, un refuge, une deuxième maison.
Bref, j’ai trouvé le Trèfle noir !

trèfle
Le Trèfle, pour les intimes, est l’un des refuges de la dynamique faune Rouynoradienne.
En hiver, on aime s’y réchauffer (Toudoum tissssh).
Disons simplement que les délectables produits de la microbrasserie régionale ont le pied lourd sur le gaz.
(lire : ça saoule vite, une pinte du Trèfle)
Résultat ; chaleur, bonnes bières et agréable compagnie.

Les ingrédients réunis, ce lieu devient favorable aux rapprochements (yé !) et aux confidences (yé ?).
Je serais curieuse de connaître le nombre de couples qui ont débuté en ces lieux… Mais ça, c’est une autre histoire.

T’en connais-toi, des amoureux du Trèfle ?

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