Archives de catégorie : FME12

STREET STYLING SPÉCIAL FME 2012 : TROISIÈME CHRONIQUE DE MODE ROUYN-NORANDIENNE

Voici la troisième et dernière chronique de Street Styling du FME 2012. Le bilan suivra bientôt…

No14:

Nom : Kiki Val Boum Boum

Occupation : Bénévole

Comment décrirais-tu ton style : « J’aime les robes avec des leggings. J’aime aussi tenir une coupe de mousseux».

Ton style est-il différent pour le FME: « Non, c’est just another day at the office ».

No 15 :

Nom : les bottes de Jenny Thibault

Occupation : nous sommes les bottes de la papesse du FME et de la mère d’une hipster

Comment décrirais-tu ton style : « Cowgirl».

Ton style est-il différent pour le FME: « Malheureusement non, nous sommes toujours des bottes de cowgirls quand le FME est terminé».

No 16:

Nom : les Adidas de Sandy Boutin

Occupation : Nous sommes les Adidas du président-cofondateur du FME

Comment décrirais-tu ton style : « Populaire. Nous avons déjà disparu après un show au Club Soda. Sandy a du marcher pieds nus dans la ruelle pour nous retrouver. Nous sommes pas mal en demande, faut croire».

Ton style est-il différent pour le FME : « Hélas non, toujours en train de courir ».

No 17 :

Noms : les gars des lodgz du FME

Occupation : Satisfaire les moindres demandes des artistes présents au FME et faire des hi-five.

Comment décrirais-tu ton style : Le gars des lodgz à gauche : « Excellente question, étant donné que j’adore la mode! J’affectionne particulièrement les jolies chemises et les t-shirts qui ont du style. Je mets un temps fou à me préparer le matin! Un jour, j’aimerais avoir une styliste, je sauverais du temps, avec tout ce que j’ai à faire pour les vedettes! ».

Le gars des lodgz à droite : « Exactement! On a tellement pas le temps de penser à ça! C’est malheureux parce que moi aussi, j’adore la mode, les tendances, les accessoires, les styles de stars. Je suis content  de pouvoir sneaker dans les loges du FME pour voir ce que portent mes artistes préférés! Quand je vois des vêtements griffés, je suis jaloux! »

Ton style est-il différent pour le FME: «On aimerait ça mettre le paquet pour le FME, mais on est vraiment vraiment occupés pendant le Festival. C’est poche! On se sent comme des filles de secondaire 4 dans leur cours de gym: on aimerait ça se mettre cute, mais on peut juste pas se poupouner, on peut juste pas.»

I Can Haz more FME?

 


Like waking from a long, pleasant, lucid dream, I am refreshed and renewed. Ready to re-enter the routine of city life in the fall.
There’s a host of happy sentiment washing over me from the festival, but I am left primarily with a deep respect for the volunteers and organizers of the festival. Their vision and hard work transforms a small community each year from proud industrial town, to a cutting edge showcase of emerging artists that is without peer anywhere in Canada. It has ceased being just a music festival and is now a unified artistic gathering of international musicians, chefs, writers, photographers, videographers, painters and installation artists, to name a just a few creative categories.
I have also realized that FME could not exist anywhere else. It has the trifecta of enthusiastic community support, artistic vision, and location working for it. The relative isolation of Rouyn-Noranda from Toronto or Montreal makes it a true escape from typical urban festival fare. Crowds are smaller, shows are much more affordable than in a major city, the venues are all located within walking distance of each other and it is in a generally more hospitable place, nestled within forest and lakes.
For someone such as myself who spends too much time in Toronto; the contrasts between similar events in my city are stark. One especially refreshing aspect of FME is the lack of beer garden quarantine zones, as is typical of Ontarian events. Doing away with this puritanical mentality virtually eliminates the phenomena of binge drinking and the predictable fallout. It encourages family inclusivity and fosters greater community support. Even after the mosh pits of Metal Night, crowds remained amiable.
As I mentioned in my first post, I consider myself very lucky to have been introduced to Rouyn-Noranda and FME. It’s too easy for nerdy, introverted city dwellers such as myself to become too content in a predictable comfort zone. FME is a cathartic, polar bear swim away from my comfort zone: culturally and musically.
Well, that’s it! With any luck I’ll be back next year, reunited with friends and diving right back into the mix…and hopefully with a command of French that’s beyond my current LOL Cat level of speech.

À bientôt, Rouyn-Noranda!

Zeus